| Centre ville | |
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Reconstruit sur les ruines d’un vieil hôtel, le supermarché permet de trouver ici des produits qu’on ne cultive pas et que le ferry apporte dans ses cargaisons. Des aliments qui viennent d’ailleurs en Islande ou de l’Europe, il permet de compléter l’alimentation du coin qui reste à base de poisson. Une partie de la grande surface, au toit ouvert, est réservée aux fermiers et chasseurs du coin qui viennent y vendre la viande des bêtes abattues.
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Réserver un voyage, acheter un ticket pour le ferry, s’offrir une visite du reste de l’Islande, c’est ici que vous trouverez votre bonheur. Pour diversifier ses services, cette agence propose aussi des locations d’appartement en ville, ou des fermes à vendre. Vous pourrez y louer des motoneiges, réserver un billet pour un tour d’hélicoptère, bien qu’il coûte assez cher puisqu’il vous faudra payer le bus pour rejoindre le point de départ de l’hélicoptère qui se situe à Ísafjörður.
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L’hôtel est le bâtiment le plus haut de la ville, que l’on peut apercevoir depuis le quai du ferry, tant par sa hauteur que pour la couleur de ses murs d’une teinte rose qui attire automatiquement l’oeil; une idée des propriétaires pour faire venir la clientèle. L’intérieur tranche franchement avec le côté rustique des lieux et tout le confort y a été placé, afin de permettre une réelle relaxation aux clients. Le restaurant est l’un des meilleurs du coin, bien que ses plats soient très ouverts comparé à d’autres lieux plus fondamentaux; vous pourrez vous y faire servir des spécialités françaises, anglaises, italiennes… De quoi éviter le dépaysement pour certains touristes. Les chambres sont si propres qu’on pourrait manger par terre et une partie de l’hôtel, ouverte très récemment, fait SPA; on y trouve un hammam et une salle de massage.
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Il s’agit, en réalité, d’un bureau du journal situé à Reykjavik où se traite le plus gros de l’information. Les journalistes envoyés ici sont, pour la plupart, peu heureux de s’y trouver puisqu’il ne se passe jamais rien de très fascinants dans le coin, enfin jusqu’à maintenant.. Les habitants, surtout les plus anciens, sont très peu friands de ce bout de papier, principalement parce que les journalistes qui le publient ne se refusent rien et on tendance à rapporter par écrit la plupart des rumeurs qui leur parviennent, ce qui crée de nombreuses tensions en ville. Ils ont tendance à jeter les informations, qu’ils glanent, en pâture à leurs lecteurs, sans prendre le temps de se censurer ou d’en vérifier la véracité.. Autant dire qu’entre le journal et la police, il y a une véritable guerre qui se livre et il n’est pas vraiment surprenant d’être témoin d’une altercation entre un journaliste et un agent de police.
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Les propriétaires de ce restaurant sont des génies culinaires. Attachés à leurs racines, ils ont su remettre à la mode des plats traditionnels qui ont tendance à friser la moustache des inhabitués. Le poisson y est servi sous divers formes et avec de multiples saveurs qui empêchent réellement les clients de se lasser de cet aliment commun à tous les plats régionaux. Les plats de viandes sont plus rares, selon les trouvailles de la chasse et les idées du cuistot qui ne manque pas d’originalité. Le décor est d’ailleurs aussi agréable que les plats et le service est irréprochable. Tout le monde s’y retrouve, car la carte varie entre des plats très coûteux ou plus accessibles. Sa salle est d’ailleurs divisée en deux, puisque la journée il fait aussi office de diner, avec service rapide, mais toujours de qualité.
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Liens rapides
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L’école élémentaire partage ses locaux avec la crèche et, lors des intempéries, sert aussi à recevoir les passagers du ferry pour la nuit, se transformant en centre d’accueil. Le collège et le lycée se partagent le même bâtiment et au vu du nombre d’élèves, il arrive parfois que les deux niveaux se retrouvent scindé en un seul, pour des cours plus généraux et plus ouverts à tous.. Chose rare qui ne se produit que lorsque les élèves se retrouvent, pour la plupart, coincés dans l’établissement à cause de la neige ou du retard des parents pour venir récupérer leurs enfants.
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| | Hôpital
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C’est une infrastructure basique, en réalité, le plus gros de l’équipement médicale se trouvant soit à Ísafjörður, soit à Reykjavik. Aussi pour tout ce qui est blessures ou opérations minimes, comme l’ablation de l’appendicite ou une jambe cassé, vous pourrez vous y faire soigner avec autant de qualité que dans un grand hôpital.. En revanche, pour les cas les plus complexes ou qui nécessitent une plus grande prise en charge, vous serez évacué par l’hélicoptère de l’hôpital vers la ville la plus rapidement atteignable. Sachez aussi qu’aucun étudiant en médecine de fait son stage ici, ou alors c’est très rares, ils préfèrent tous partir dans les deux autres villes qui proposent une meilleure éducation médicale.
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Il s’agit d’une succursale du poste principale de la criminelle située à Reykjavik et bien que les policiers de ce poste jouissent d’une certaine liberté, ils ont quelques règles à respecter; ils doivent référer de l’avancée de chacune de leurs enquêtes au poste principale et, pour les affaires plus délicates - comme un meurtre ou autre -, c’est au poste de Reykjavik de mener l’enquête en priorité, aussi il arrive que l’équipe de la criminelle soit obligé de se déplacer pour prêter main forte à la police locale.. Quand ils ne volent pas carrément la vedette et les lauriers..
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| | Mairie
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Très beau bâtiment à l’architecture qui rappelle encore l’implantation des premiers colons norvégiens sur l’île, la mairie n’est pas forcément le lieu le plus prisé du coin. Les mauvaises langues ont tendance à dire qu’on y dort plus qu’on y travaille, parce qu’avec les plans sur la comète et les idées à la con qu’on leur sert, la mairie ne sert pas à grand chose. Aussi, le maire n’a pas très bonne réputation dans le coin et il n’est pas rare qu’il soit moqué; on a plus de respect pour le chef de la police locale que pour le maire, qui a moins de poids politique que sa secrétaire, c’est dire..
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Maisons à deux étages, de plein pied, petits immeubles à deux ou quatre appartements, ici les bâtiments dépassent rarement six étages et on y trouve des loyers plutôt accessibles à tous, puisque la majorité de la population ne roule pas sur l’or. Il y a pourtant moins d’habitations ici qu’il y a de fermes, bien que les petites familles préfèrent généralement s’installer en ville pour la proximité avec l’école et les commerces.
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| | La piscine
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La piscine est divisée en deux, une partie avec le grand bassin pour s’entrainer ou pour les cours de natation offerts par les établissements scolaires, l’autre partie étant plus un bassin plus petit pour les enfants en bas âge et leurs parents. Couverte, la piscine entière est chauffée, le bâtiment comme l’eau et il n’est pas rare que certains viennent s’y planquer pour profiter de la chaleur. Il arrive aussi que les soirs de week-end des petits plaisantins viennent y faire la fête; on appelle ça une « pool party »..
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| | | 0 | Björn Kormákur | 261 | Mer 17 Fév - 11:55 Björn Kormákur | |
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